Lorsqu'il a un transit normal, un nourrisson fait « cadeau » à papa et maman d'un paquet jaune et liquide avec plus ou moins de grumeaux, une à plusieurs fois par jour, et ce,
sans forcer.
S'il force à devenir plus ou moins rouge, ou si le « paquet » est pâteux, moulé ou fait de petites boules dures alors votre Ostéopathe pour bébé peut travailler
son sacrum et son bassin pour libérer les sphincters qui perturbent l'évacuation.
Si le système digestif perturbé fait régurgiter plus que de raison ou se tortiller votre bébé après les tétées,
l'Ostéopathe va travailler la base du crâne et libérer le passage des nerfs qui entraînent cela.
Depuis des années qu'il dialogue avec le corps de ses patients, y compris de nombreux bébés, Pascal BÉZIAT, ostéopathe à Toulouse (Saint-Orens-de-Gameville), a compris
qu'il était possible de traiter les soucis de peau du bébé tels qu'eczéma, peau sèche ou « croûtes de lait » dans la globalité des muqueuses.
Après avoir rééquilibré la mécanique globale du bébé, il travaillera à stabiliser l'ensemble des muqueuses du nourrisson que ce soit la peau mais aussi celles des
systèmes digestif, respiratoire ou urinaire.
Tout d'abord parce qu'à la maternité, il leur a été conseillé une visite bilan, surtout si la naissance a été difficile (avec forceps ou ventouse) ou si le bébé présente
un crâne aplati d'un côté (plagiocéphalie) ou un œil qui pleure sans arrêt et qui est tout « collé » au réveil.
Votre Ostéopathe pour bébé à Toulouse réalise alors un bilan complet en insistant sur la face et le crâne pour qu'avec la croissance le crâne retrouve une forme
normale.
Ensuite si le bébé pleure trop souvent sans raison apparente, ni cause médicale comme de la température qui nécessite de consulter d'abord un médecin, l'Ostéopathe peut libérer
des tensions mécaniques ou viscérales qui engendrent ces pleurs.
Et enfin si le bébé a un sommeil très agité, fragmenté avec de nombreux réveils en pleurs, ou des réveils toujours grognons, l'Ostéopathe peut libérer des tensions, engendrées par la naissance ou
à la fin de la vie intra-utérine, s'il s'est trouvé plus ou moins bloqué dans le bassin de la maman.
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